Le commerce électronique est défini comme toute transaction commerciale (production, publicité, distribution et vente de biens et de services) effectuée par des individus, des entreprises ou des agents électroniques par le biais de moyens de communication numériques, sur un marché virtuel sans limites géographiques ou temporelles. Cette définition peut varier légèrement d’un auteur à l’autre.
Le commerce électronique repose essentiellement sur deux piliers : le cadre juridique (information, vie privée, sécurité et droits des consommateurs) et le cadre technologique (Internet ou tout autre support permettant de transmettre ces informations). Entre ces deux piliers fondamentaux se trouve la nécessité d’un système de pratiques communes ou de » codes d’utilisation « , tels que les schémas de sécurité dans les transactions, l’authentification, les droits d’auteur, les moyens de paiement électroniques ou l’utilisation d’annuaires et de catalogues, ou encore le développement de systèmes de marketing adaptés à ce nouveau canal (Dans, 2015).
Bien que les termes « e-commerce » et « e-business » puissent sembler identiques, il existe une légère différence : si le premier implique la vente, le second renvoie à la notion plus générique de faire des affaires par voie électronique sans nécessairement vendre. Mais il ne se réfère pas seulement à la vente, mais à un concept plus général comme la publicité du produit, la présentation d’un catalogue, les stratégies de marketing ou tout type d’information sur un ou plusieurs produits de l’entreprise.
Malgré la disparité en termes de types de commerce électronique, la plupart des auteurs semblent s’accorder sur l’existence de cinq types de commerce électronique, en fonction des différents acteurs impliqués dans la transaction. Ces cinq principaux types de commerce électronique sur lesquels la plupart des auteurs s’accordent sont : B2C (business-to-consumer), B2B (business-to-business), B2A (business-to-public administration), C2C (consumer-to-consumer) et B2G (business-to-government).
En outre, certains auteurs mentionnent d’autres types possibles qui ne sont pas si courants, tels que : C2G (consommateur-gouvernement), B2E (entreprise-employé), G2C (gouvernement-consommateur), G2B.
Principaux types de commerce électronique :
– B2C (Business to Consumer) : commerce entre les entreprises et le consommateur final. C’est le secteur qui connaît la croissance la plus rapide en raison du potentiel d’avenir qu’il avait il y a quelques années. Internet élimine la nécessité d’engager des intermédiaires de la part de l’entreprise, avec les économies de coûts correspondantes.
L’achat est également plus rapide et plus pratique. Les consommateurs ont plus de pouvoir, car ils ont plus de variété et d’informations pour trouver le produit le plus adapté à leurs besoins, ce qui peut être un désavantage pour l’entreprise, car elle devra augmenter sa compétitivité en raison du grand nombre de concurrents sur le web, elle doit donc offrir un produit et une présentation compétitifs si elle ne veut pas perdre de parts de marché.
– B2B (Business to Business) : il s’agit de transactions effectuées sur le marché électronique entre des entreprises. Ces transactions sont celles effectuées par les entreprises qui passent un certain type de commande sur l’internet et utilisent ce moyen pour interagir avec leurs fournisseurs et leurs entreprises clientes. Cette activité couvre près des trois quarts du marché du commerce électronique, car elle permet aux entreprises d’économiser sur les coûts.
– B2A (Business to Administration) : Commerce entre entreprises et administration. Types de transactions telles que l’envoi de formulaires de sécurité sociale, de taxes telles que l’impôt sur le revenu des personnes physiques, l’envoi d’offres, l’échange d’informations, etc. Certains auteurs, généralisant la définition de l’entreprise, font de l’administration une entreprise ou un consommateur, c’est pourquoi elle pourrait être incluse dans le B2B ou le C2B.
– C2C (Consumer to Consumer) : commerce entre consommateurs qui se contactent pour offrir ou demander un certain produit, qui, contrairement au marché physique traditionnel, ne nécessite pas d’intermédiaires, ce qui leur permet de fixer eux-mêmes le prix. Les ventes aux enchères en ligne ou l’échange de courriers électroniques se distinguent. Une attention particulière doit être accordée au commerce C2C, car il s’agit d’une méthode présentant un taux de fraude élevé, en raison de la dissimulation du prix du produit.
Places de marché électroniques des informations sur le produit, une mauvaise qualité ou des problèmes de réception du produit.
– B2G (Business to Government) : échanges entre les entreprises et les pouvoirs publics. Il se compose de la vente de produits et de services au gouvernement sur Internet. Autres types de commerce électronique :
– B2E (Business to Employee) : échanges entre les entreprises et leurs employés. Typique des grandes entreprises, qui offrent à leurs employés la possibilité d’obtenir des réductions sur l’achat de produits ou de services de l’entreprise elle-même, obtenant ainsi un plus grand engagement de leurs employés.
– G2C (Government to Consumer) ou G2B (Government to Business) : il s’agit de toutes les transactions effectuées via l’internet, tant par des particuliers que par des entreprises, pour effectuer des paiements dans le cadre de leurs obligations et procédures avec le gouvernement. Il est considéré comme un type de commerce car une transaction est payée et les informations relatives à la transaction peuvent également être consultées à tout moment. Il permet de gagner du temps grâce à la rapidité des procédures via l’Internet.
– P2P (« Peer to Peer ») : Le commerce de pair à pair. Une transaction dans laquelle les deux parties ont les mêmes capacités et les mêmes droits. Un groupe d’utilisateurs peut échanger tout type d’informations sans qu’il soit nécessaire de procéder à des mouvements directs d’argent. Une transaction a lieu dans laquelle aucune des parties ne l’emporte sur l’autre.
– C2B (Consumer to Business) : commerce entre clients et entreprises. Il est initié par l’utilisateur final, qui fixe les conditions de vente aux entreprises. Un bon exemple serait celui des sites web où les utilisateurs mettent leur maison en location, afin que les agences de voyage puissent faire des offres pour l’acquérir, sous la forme d’une vente aux enchères.
AVANTAGES apportés par le commerce électronique :
Pour le client :
– Commodité : évite les déplacements.
– Une plus grande disponibilité des horaires, car l’internet est toujours disponible.
Pour maintenir l’efficacité, l’entreprise d’aménagement paysager peut mettre en place un processus automatisé pour suivre les niveaux d’approvisionnement. Lorsque les équipes utilisent de l’engrais sur les terrains des clients et que le stock tombe en dessous d’un certain niveau, un système automatisé passe une commande supplémentaire.
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